Vassiritch, Mikhaïl

Nom: Vassiritch
Prénom: Mikhaïl
Âge: 32 ans
Nationalité: Russe
Hétéro

Description physique:
Au premier abord, il est facile de savoir d’où vient Mikhaïl: teint pâle, cicatrice des neiges trop longues, cheveux longs noirs de jais, constitution solide et carrure robuste. Tout du fier homme du nord, qui brandit ses racines comme un drapeau volé, et qui se tient toujours droit et redressé, soucieux de faire l’honneur de sa patrie. Ses longs cheveux noirs ornent un visage creusé, taillé, aux formes désespérément géométrique et droites. Le nez est proéminent, conquérant bien que l’arête soit cassée, surplombant une bouche voulue inexpressive et des lèvres sanguines, mais rétractées par une habitude des grands froids. Au sein de ses orbites blanches trônent deux yeux bleus pénétrant, qui semble toujours lire dans la personnalité des gens. Si Mikhaïl n’est pas excessivement musclé, Il saurait se tirer de bonne majorité des situations, grâce à de bons réflexes et une pratique régulière du sabre. De carrure relativement impressionnante et de proportions correctes, Mikhaïl se a toujours eut la manie de toujours paraître droit, et il se redresse sans cesse. Il porte généralement un pourpoint rouge vif, remonté jusqu’à la taille et un pantalon serré en peau de mouton. Il garde toujours son sabre sur son flanc, vieux réflexe militaire.

Description mentale:
Mikhaïl est quelqu’un d’assez sympathique et ouvert sur le monde qui l’entoure. Il se tient toujours droit et veille sur ses manière à un degré obsessionnel, mais il a un bon fond, se montre optimiste, sympathique et souvent de bon conseil. Il a d’ailleurs un sens de la déduction et de l’observation plutôt développé, et, en tant qu’écrivain se voulant réaliste, il passe de longs moments à détailler, à deviner les facettes de la personnalité et à retracer l’histoire des gens à travers leurs gestes et attitudes. Mikhaïl est d’un tempérament calme et il se démarque par une parfaite maîtrise de soi et de ses pensées et émotions. Il aime débattre, en bon philosophe des grandes choses politiques et scientifiques et de tout ce qui est cher aux intellectuels, même s’il sait, lorsque le moment n’est pas aux grands chevaux, parler de sujets légers et éphémère. Il rit facilement, sait bien réagir face à de nombreux comportements et, somme toute, est une compagnie voulue agréable en ces temps troublés. Pourtant certains de ses propres gestes trahissent une méfiance et une attention particulière. Il porte toujours son sabre, de peur d’être agressé, se tient toujours au courant, de peur d’être pris par surprise ou d’être rattrapé par les évènements. Il est très précautionneux et sait pertinemment que sa sécurité est en danger à tout instant en ces lieux maudits. Cette éloquence et cette nature extravertie a toujours été dans son caractère, mais il compte bien s’en servir pour se constituer de potentiels alliés et un réseau d’information qui lui permettrait d’obtenir sans risque une preuve d’existence de races intelligentes non humaines, en l’occurrence les vampires. La recherche est un métier dangereux, et un sens de la diplomatie aguerris et une parole franche et convaincante valent autant que l’acier de sa lame.

Histoire:
Mikhaïl est né dans une famille de la noblesse tsariste, proche de Michel Romanov. C’était un enfant voulu, mais chargé d’attentes. Les parents étaient de fervents défenseurs du pays et du régime impérial, et la première chose qu’ils inculquèrent à leur fils fut l’amour de la nation et du travail. Il y’avait quelque chose de malsain a vouloir former soi-même l’avis de son enfant, et en faire une machine prête à sacrifier son âme eut elle eut la postérité en retour. Mikhaïl a donc dans un domaine ou seul les meilleurs peuvent vivre, où règne la loi du plus doué, du plus fier. Déjà, du haut de ses 6 ans, son père lui offrait des épées de bois sculpté, et lui lisait toutes les grandes œuvres des scientifiques et écrivains de l’époque, de Newton à Racine, en passant par les grands auteurs antiques .Et lui il apprenait, sans réfléchir. Le jour où il eut l’âge de monter à cheval, il fut placé sans avis aucun dans l’armée du tsar, pour repousser les polonais qui montaient sur Kiev, en la valeur d’officier. Il en revint victorieux, avec le grade de général mais grandement affecté. Il participa à la compagne de crimée, toujours victorieux, mais ces boucheries finirent par devenir insupportables. Les terribles lésions de la guerre lui firent délaisser sa carrière militaire à la grande honte de ses parents. On ne sert les intérêt d’un pays que si on les a choisis. Ces horreurs lui avaient vite forgé l’esprit critique, et un sens ardu du débat et de la philosophie. Grâce à l’éducation qu’il avait reçu, et à ces nouvelles armes spirituelles, ses premières œuvres littéraires eurent un succès fulgurant, à l’étranger comme à lintérieur du pays. Le successeur de Romanov lui-même lui remit le titre de noblesse que ses parents avaient tout fait pour voir disparaître. Sa gloire était faite. Vassiritch, le général victorieux, l’écrivain à la pensée reconnue par tous. Il était enfin heureux. Il avait 30 ans. Il deux mois plus tard allait paraître ce qui serait son plus gros succès littéraire: Des méandres de la société, où il détaillait avec grand soin les mœurs du temps et de l’époque, et tout ce qui touchait quiconque pouvait se prétendre être humain. Justement. Il évoquait également la peur irrationnelle de l’homme pour l’inconnu. Il faisait mention bien évidemment des fantômes, des goules et de tout ce qui fait chanter notre pitoyable imaginaire. Le passage plut certainement aux être humains, au reste, sûrement aussi, il est parfois satisfaisant de voir ce que l’on pense de vous. Par contre, certains semblaient ne pas avoir du tout apprécié ces petites réflexions sur leur image dans le monde moderne. Un soir de janvier, Mikhaïl faillit voir sa vie lui passer au travers de la gorge pour nourrir un suçeur de sang trop entrepreneur. Un coup de sabre bien plaçé et un pieu tout aussi bien asséné et le danger était écarté. C’était un de ces vampires faibles, à peine plus forts qu’un être humain, mais les faits étaient là. On lui en voulait. Il mena une petite enquête à sa manière, et tout ceci le remonta jusqu’à un certain château hongrois du nom de Cachtice. Tout cela paraissait invraisemblable, fou et absurde, et il hésita de longs moments, mais après une deuxième tentatives d’assassinat, un coup d’œil et un éclaircissement devenait d’une nécessité vitale. Il quitta sa résidence en géorgie, lut tout ce qu‘il pouvait sur le vampirisme et sur tout ce qui pourrait s‘avérer utile, traversa la mer noire, et fit route pour Cachtice.

Groupe d’humain: Touriste
Demande de logement: non, Mikhaïl n’est ici que de passage
Comment avez-vous connu le forum: Top-site

Code règlement: Code validé par Vlad'

Voila

bienvenue bienvenue l'ami ^^ (héhé)